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LA LRens est passée dimanche dernier.

Des risques très hypothétique face à des risques bien concret, la lutte contre les terrorismes, les criminels et les délinquants. Vous pensez jamais aux victimes et potentiels victimes

Quequ’un sur Facebook.

La question est: La surveillance arrête-t-elle les criminels? Non elle les a sous surveillance, mais il n’y a pas de personnels pour les arrêter.
La question est: Existe-t-il un profil terroriste précis permettant de cibler cette surveillance? Non, il suffit de voir la variété de mots utilisé dans les recherches sans réel résultats.
La question est: Le SRC est-il un service de police consacré à la protection des citoyens? Non, il n’a pour seul but la défense de l’état et des ses représentants.
La question est: Est-ce un pouvoir plus grand que l’état (comme le peuple souverain) qui surveille les « surveillants »? Non, ce sont les représentants de l’état.
Ça fait beaucoup de non pour un oui.
Alors du coup, qui est la victime? Que se soit les terroristes ou les l’état, c’est le citoyen la victime.

Ce que beaucoup de gens disent m’intrigue: depuis quand la LRens peut protéger contre la criminalité?
LRens à été défendue sur le terrains du terrorrisme et des crimes adjacents (espionnage, armes de destructions massives, etc.), mais il ne vise pas les autres crimes.
Et le tout confié au SRC qui N’est PAS un service de police et qui N’A AUCUNE mission de protéger le citoyen, UNIQUEMENT l’état!!

C’est justement là qu’est l’erreur. Ce n’est pas un problème de loi: c’est un problème de police, un problème d’organisation, un problème citoyen.

Pensez que l’on peut abandonner ses responsabilités dans une loi, un service secret ou un/de nos élus est justement ce qui nous amène à la situation présente.
Nous abandonnons la colère de certains et les disparités sociétales, mais nous voulons de la sécurité pour nous.
Nous ne voulons pas apprendre comment internet marche mais nous voulons l’utiliser.
Nous pleurons Charlie, mais acceptons la même surveillance qui fut utilisée contre eux, par ce même état démocratique.
Nous invoquons les victimes du Bataclan mais n’avons pas plus d’avenir à leurs fournir que ceux qui les ont massacrés.

Hier nous avions abandonné Davel en pensant qu’aucune démocratie n’exécuterait jamais quelqu’un, juste pour demander l’indépendance.

Que voudrons-nous demain….